vendredi 1 septembre 2017

Le 1er septembre 2017

Proverbe/citation du jour
« Never, never, never give up. »-Winston Churchill


Pascal Bérubé bientôt éjecté de son poste de leader parlementaire du PQ au profit de Maka Kotto? Si tel est le cas, ce sera un juste retour du balancier!
Une rumeur, c’est une rumeur, il faut toujours en prendre et en laisser. Cependant, en analysant attentivement le contexte dans lequel ladite rumeur plane, on peut en tirer, si ce n’est pas l’entière vérité, au moins une partie de celle-ci.

Pascal Bérubé
Dans le courant de la semaine, via des truchements divers, j’ai entendu dire qu’il se pourrait que le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, perdrait bientôt son poste de leader parlementaire de l’opposition officielle au profit de Maka Kotto.

Compte tenu des « sparks » qu’il y a eu entre Pascal Bérubé et le chef actuel du P.Q., Jean-François Lisée (le peu d’étincelles parvenu jusqu’au public n’est peut-être qu’une partie infime de ce qui se passe à l’interne), il ne serait peut-être pas si étonnant que cela que le député de Matane-Matapédia se fasse tasser au profit d’un autre.

Le peuple oublie vite, c’est à mon avis pour cette raison que le « Kid Kodak » qu’est Pascal Bérubé a tout intérêt à inonder les médias de « nouvelles » insignifiantes pour préserver son image, alors qu’en réalité, il n’accomplit rien de spécial qui va au-delà du simple travail de n’importe lequel député.

Vous souvenez-vous de la position de Pascal Bérubé, au début de la campagne à la chefferie qui a suivi la démission de PKP (auquel il s'était vite associé dans la course précédente), alors qu’il se disait « neutre »?

Maka Kotto
Comme je l’ai prédit, Bérubé a laissé tombé sa neutralité dès qu’il est devenu clair que Jean-Francois Lisée serait le nouveau chef.


La marmite chauffe peut-être bien plus que nous ne pourrions le croire pour le député de Matane-Matapédia, au sein du PQ.

Savez-vous, il y a de cela maintenant cinq ans, à la fin du mois d’août 2012, j’ai reçu la décision d’un arbitre dans le dossier concernant ma plainte à l’endroit de mon ancien employeur, CJMC Radio du Golfe, à Sainte-Anne-des-Monts. J’ai alors gagné ma cause, car mon congédiement a été considéré comme étant illégal par l’arbitre, et j’ai financièrement été compensé pour cela, sans pouvoir reprendre mon poste.


La lutte a été longue depuis, mais je ne compte pas lâcher le morceau.

Même si je suis souvent assez cru merci dans mes paroles et dans mes gestes, à l’endroit de mes opposants, j’ai toujours agi dans les limites de la loi. Même le principal concerné ici, de même son entourage, en ont été informés, avant de me bloquer, que ce soit via Facebook ou via Twitter. J’ai l’intention de persister dans la voie que je suis, malgré bien des embûches.

Johanne Fournier
Tenez, même que lorsque j’ai annoncé publiquement que je souhaitais remettre une copie de ce jugement dans les mains de Pierre Karl Péladeau, lors de son passage à Cap-Chat, alors qu’il était candidat à la chefferie du PQ, en compagnie de Pascal Bérubé, en janvier 2015, j’ai fait l’objet d’une filature policière (que j’ai pu constater parce que les policiers ne brouillaient pas leurs ondes), et une journaliste du Soleil, Johanne Fournier, qui vante souvent ses mérites journalistiques, a joué sale, et pas à peu près, en omettant tous ces faits pour foutre une photo de votre humble blogueur avec son .357 (légalement possédé) dans le journal, ce qui porte encore des gens à croire que je me suis rendu à Cap-Chat armé, alors qu’en réalité je n’avais que trois copies du jugement et mon appareil-photo, à mon arrivée chez Valmont Plein-Air, lieu de la rencontre. 

Quelques journalistes m'ont confié "Off The Record", qu'ils ne peuvent sentir Johanne Fournier et qu'ils m'ont aucune confiance en elle, car ils la considèrent hypocrite, vipère. Peut-être qu'à vouloir toujours vouloir dépasser tout le monde, en voulant des scoops à tout prix (comme ç'a été le cas dans l'histoire citée dans le paragraphe plus haut), la journaliste de Saint-Ulric va peut-être elle aussi frapper son Waterloo. Cela demeure un bon sujet pour un billet ultérieur de la part de votre humble blogueur...

Je le déclare une fois encore en ce jour : Pascal Bérubé, malgré ses belles apparences, joue sale. Il représente ce qu’il y a de pire en politique. Je l’ai senti dès mes premiers contacts avec lui en mars 2007. Dix ans plus tard, je ne compte pas plus plier l’échine devant lui que devant une journaliste comme Johanne Fournier, que je considère tout aussi malhonnête et manipulatrice.

Je suis le premier à le reconnaître : je suis, à mon avis du moins, non pas un baveux, mais un arrogant, qui aime pisser dans le vent, avec le risque de s’arroser lui-même, mais je crois aussi être franc, honnête, intègre, et je ne compte pas du tout lâcher le morceau face à des gens qui, à mon avis, méritent d’être mis à peur place.

Le « Jour du jugement » de Pascal Bérubé risque fort de provenir de l’intérieur même du parti au sein duquel il milite bien plus qu’ailleurs. L’avenir me donnera peut-être raison. Qui vivra verra, qui vivru verru!

2 commentaires:

  1. Y aura-t-il un seul journaliste qui ira rencontrer MONSIEUR BEAULIEU ou qu'un poste de tv l'invite pour commenter son commentaire? Je l'espère....

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  2. Une belle grosse journalope x large avec la tête dans le... enfin le... Tsé ?

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