mardi 13 août 2013

Sujets du 13 août 2013

Proverbe/citation du jour
«Toute activité orientée selon l'éthique peut être subordonnée à deux maximes totalement différentes et irréductiblement opposées : l'éthique de responsabilité ou l'éthique de conviction.» -Max Weber

Le salaire de la femme et de l'homme avant et après le mariage
Est-ce que l'image qui suit indique la raison pour laquelle tant de femmes souhaitent se marier?



Ce n'est probablement par ce qui se passe dans tous les couples mariées, mais chose sûre, cela est assez représentatif du type de couple où une "Gère-Mène" porte les culottes! Cela peut aussi expliquer pourquoi tant d'hommes ne souhaitent plus s'engager de nos jours!


Soyez généreux envers les gens de Lac-Mégantic monsieur Duceppe!
Quand le PQ organise une commission dans le but d'étudier un « problème de société », pourquoi ai-je toujours l'impression que celle-ci n'est organisée que dans le but de « prouver » à la population que pour un gouvernement péquiste, les intérêts du peuple sont importants, alors que tout ce qui en résulte, c'est un rapport qui va finir sous la poussière sur un tablette pour un jour se ramasser dans un bac bleu, et que les employés de la commission, souvent des amis du parti, empochent un salaire aux frais des contribuables, alors que plusieurs parmi eux ne sont pas démunis financièrement à l'avance?

Gilles Duceppe
La « Commission nationale d'examen sur l'assurance-emploi », un organisme créé par le gouvernement Marois et qui doit entendre des citoyens de la province jusqu'à la mi-octobre prochain, dispose d'un budget de 1,5 millions de dollars. De ce budget, la moitié est consacrée aux salaires qui sont versés à l'équipe qui travaille sur la question. La rémunération totale accordée est de 843 000$, cette somme étant répartie entre les quatre commissaires et employés engagés pour les seconder.

Rita Dionne-Marsolais va toucher un total de 181 499$, un montant comportant des honoraires de 1100$ par jour basés sur une journée de huit heures, desquels sont déduits la moitié de sa rente de retraite du secteur public québécois.

Gilles Duceppe gagnera lui 117 460$, et même si rien ne l'y oblige, l'ancien chef du Bloc québécois a décidé de déduire de son salaire l'équivalent de la moitié de sa pension fédérale.

Les deux autres membres de la commission, Yvon Boudreault et Michel-Yves Bédard, vont respectivement toucher 97 022$ et 160 100$.

D'autres « amis » des péquistes ont aussi été engagés, parmi eux deux anciens collaborateurs bloquistes, une adjointe de longue date de Duceppe, Louise Brisson, même qu'une ancienne recherchiste du Bloc, France Bibeau, qui toucherai 82 000$.

D'autres « amis » collaborent à la commission, qui a cours depuis avril dernier. Une cinquantaine de personnes ont été entendues depuis le mois de mai, notamment Jacques Parizeau, Bernard Landry et Lucien Bouchard, de même des représentants des centrales syndicales et des chercheurs universitaires.

Le rapport de cette fameuse commission doit être remis le 30 novembre prochain. Notez également qu'il pourrait y avoir des ajustements de ces salaires estimés à la fin du mandat.

Et tout ça pour quoi? Encore de l'argent du peuple garroché par la fenêtre pour plaire à des amis souverainistes!

Si monsieur Duceppe et compagnie, qui touchent déjà des pensions auxquelles ne peuvent que rêver la plupart des contribuables, ont le moindre respect envers ceux-ci, qu'ils remettent donc la totalité de leurs gains relatifs à la commission à des gens qui en ont besoin, comme les sinistrés de Lac-Mégantic par exemple!

Pour plus de détails :



Documentaire du jour : « Attack of the Drones »
Les drones, des véhicules aériens sans pilote, font désormais partie de l'arsenal de forces armées à travers le monde, et sont aussi utilisés par la police et diverses agences civiles pour des fins de surveillance notamment.

Un pilote de drone en entrevue
Un drone peut demeurer dans les airs durant de longues périodes, transportant des missiles et des bombes, et peut mener des attaques en territoire ennemi dans mettre en danger la vie de son pilote.

L'usage de ces avions-robots soulève de nombreuses questions d'éthique, un pilote basé aux États-Unis, assis dans un bureau, pouvant en utiliser un pour tuer des Talibans au Pakistan pour rentrer ensuite calmement chez lui pour regarder la télé en buvant un bière...

« Attack of the Drones » est un documentaire d'une vingtaine de minutes portant sur le sujet.

Pour plus de détails :



Photo du jour
Barachois, en novembre 2012.

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