jeudi 3 mai 2012

Sujets du 3 mai 2012


Proverbe/citation du jour
«Pour que la matière ait tant de pouvoir, il faut qu'elle contienne un esprit.» -Flaubert (Gustave)


Un bronzage à la Dixie Lee
Le bronzage, comme le maquillage, peut améliorer l'apparence d'une personne, mais comme dans le cas de l'alcool, la modération a bien meilleur goût comme le disait un vieux message publicitaire.

Une mère de 44 ans du New Jersey, Patricia Krentcil, a été accusée d'avoir mis un enfant en danger car la loi de l'État stipule qu'il est illégal pour un enfant de moins de 14 ans de fréquenter un salon de bronzage. Elle y a amené sa fille... de cinq ans!!!

La dame dit qu'il y a eu malentendu parce que sa fille aurait selon elle subit un coup de soleil « normal » en jouant à l'extérieur. Le père de la petite, appelé Rich, aurait mal compris en indiquant à un professeur que la petite «était allée se faire bronzer avec maman.» Ce sont les autorités scolaires qui ont porté plainte.

Semble-t-il que la fillette aurait effectivement été au salon de bronzage avec maman, mais qu'elle n'aurait pas subi le traitement dans une cabine. Voici la petite et sa maman :

Ouf!!! La dame ressemble à un morceau de poulet Dixie Lee (une chaîne similaire à PFK et populaire en Gaspésie pour ceux et celles qui comprennent mal ma comparaison!)

La dame est probablement l'équivalent féminin d'un douchebag. Mes mots crus peuvent ici choquer, mais je vais reprendre ici l'expression d'une amie, Audrey, qui m'a dit qu'en voyant un jour un dame aussi «flambée» accompagnant un douchebag, elle l'a immédiatement décrite comme étant une «plo**e toastée»!!!


Quand on en est rendu à se faire flamber de la sorte, il faut supposer qu'il n'y a pas que des problèmes de santé au niveau de la peau, mais également quelques part entre les deux oreilles!

Vous pouvez voir Patricia Krentcil dans un vidéo accessible sur YouTube en suivant le lien ici bas.


Pour plus de détails :



«Maudites piasses en plastique»
Alors que la Banque du Canada annonce qu'à partir de novembre prochain, les billets de 20$ présenteront une nouvelle image de la Reine sur un billet en polymère, et que les coupures de 5$ et de 10$ subiront le même traitement en 2013, nous pouvons nous attendre à ce que les plaintes des gens en lien avec les nouvelles coupures aillent en augmentant.

En jasant avec des locataires tout en faisant ma tournée de logements pour la collecte des loyers du mois de mai cette semaine et et en demandant l'avis des caissières à la banque locale lors de dépôts, j'ai constaté de visu que les billets de 50$ et de 100$ en polymère qui sont déjà en circulation font pester leurs utilisateurs, qui trouvent difficile de les plier pour les placer dans leur portefeuille ou de les compter et les séparer lors de leur utilisation parce qu'ils ont tendance à se coller ensemble. Une dame toute dépitée m'a confié avec certitude qu'elle aurait perdu 50$ de sa précieuse pension parce que deux billets seraient resté soudés l'un à l'autre lorsqu'elle faisait ses emplettes.

Les nouvelles coupures ont beau avoir plusieurs avantages (elles sont plus durables et plus difficiles à copier pour les faussaires) mais elles provoquent aussi des désagréments.


Le métro de New York dans les années 1940
Les images qui suivent, prises dans le métro new yorkais, font partie d'une série réalisée par un jeune photographe appelé Stanley Kubrick pour le magazine LOOK en 1946. Le jeune homme, qui ne se doutait certainement pas du tout qu'un jour il deviendrait un grand réalisateur, avait pour mission de capturer en images le quotidien des passagers du métro. À l'aide d'une caméra cachée, il s'est lancé à l'aventure!

 













 













 














On dit qu'une image vaut mille mots. Si vous observez avec un peu d'attention, vous remarquerez combien les temps ont changé. Par exemple :

  • Les hommes ne cédaient peut-être pas toujours les places assises aux femmes, mais cela semblait plus fréquent que de nos jours
  • L'habillement des gens était plus uniforme et plus soigné (pas de t-shirts ni de jeans!)
  • Il n'y avait pas de téléphones intelligents et les journaux étaient plus courants
  • La proportion d'obèses étaient moins importante qu'aujourd'hui

Si d'autres détails attirent votre attention, n'hésitez pas à commenter sur le sujet!

Ces photos, de même que plusieurs autres, font partie d'une exposition nommée «Willing To Be Lucky: Ambitious New Yorkers in the Pages of LOOK Magazine», présentée par le musée de la ville de New York.

Pour plus de détails et d'autres photographies :

1 commentaire:

  1. Marcel Deschamps3 mai 2012 à 09:12

    «Maudites piasses en plastique»
    Comme dans toutes choses, il y a des pour et des contres. Si les billets cherche à rester coller ensemble quand ils sont neuf, alors esperons qu'il en sera ainsi au gichet automatique. :P Cependant, farce à part, en australier ils ont déja ce genre de billet et ils semble bien se débrouiller. Faut juste s'adapter ;)

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